Veille juridique du CDG13
178.8K views | +46 today
Veille juridique du CDG13
Le Service Expertise Statutaire et Juridique du Centre de Gestion des Bouches-du-Rhône propose une sélection quotidienne d'actualités parues au Journal Officiel, d'articles, de circulaires, de jurisprudences...
Your new post is loading...

Tags

Current selected tag: 'Ressources Humaines'. Clear
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 4:52 AM

Inaptitude au poste de travail : quelle règlementation ? - Actualité - INRS

Inaptitude au poste de travail : quelle règlementation ? - Actualité - INRS | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Pour protéger et favoriser le maintien dans l’emploi des salariés déclarés inaptes à leur poste de travail, le Code du travail impose une procédure particulière.

Quelles sont les différences entre l’inaptitude, l’incapacité et l’invalidité ?
Au sens du Code du travail, l'inaptitude au poste de travail se définit comme l’incompatibilité entre l'état de santé du salarié et son poste de travail.
L'avis d'inaptitude rendu par le médecin du travail est éclairé par des conclusions écrites, assorties d'indications relatives au reclassement du travailleur.

L'incapacité de travail, qu’elle soit temporaire ou permanente, est la conséquence d'un accident ou d'une maladie professionnelle ou non. Elle ne s’assimile pas à une incompatibilité entre l’état de santé d’un salarié et son poste de travail mais à une incapacité physique de reprendre ou de continuer toute activité salariée. L’incapacité de travail est généralement accompagnée d’un arrêt de travail. Le contrat de travail est ainsi suspendu et le salarié ne peut, en principe, être licencié durant cette période.

L'invalidité correspond à la réduction d'au moins deux tiers de la capacité de travail d’un salarié à la suite d’un accident ou d’une maladie d’origine non professionnelle. Elle est constatée par le médecin-conseil de la Caisse Primaire d’assurance maladie (CPAM).

Au sommaire
Comment l’inaptitude est-elle reconnue ?
Que doit mentionner l’avis d’inaptitude ?
Dans quelles conditions peut-on contester l’avis d’inaptitude ?
Un salarié déclaré inapte peut-il être licencié ?

Comment est reclassé un fonctionnaire titulaire en cas d'inaptitude physique ?
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F549

Reclassement d'un agent public contractuel : quelles sont les règles ?
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32397

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 4:50 AM

Un supérieur hiérarchique mis en cause ne peut régulièrement statuer sur la demande de protection fonctionnelle présentée par son subordonné

Il résulte des dispositions de l'article R. 123-23 du code de l'action sociale et des familles qu'il n'appartient qu'au président du CCAS de prendre les décisions relatives à la situation individuelle des agents du centre.
Toutefois, il résulte du principe d'impartialité que le supérieur hiérarchique mis en cause à raison d'actes non rattachables à l'exercice normal du pouvoir hiérarchique ne peut régulièrement, quand bien même il serait en principe l'autorité compétente pour prendre une telle décision, statuer sur la demande de protection fonctionnelle présentée pour ce motif par son subordonné.

En l'espèce, il ressort des pièces du dossier, notamment de sa lettre du 30 A... 2017, que M. E... demandait la protection fonctionnelle pour la plainte qu'il avait porté auprès du procureur de la République contre le président du CCAS du Tampon pour discrimination syndicale et harcèlement moral.

Si le président du CCAS ne pouvait pas légalement, sans manquer à l'impartialité, se prononcer lui-même sur la demande de protection fonctionnelle dont le CCAS était saisi par M. E..., toutefois, l'autorité compétente pour statuer à la place du président, empêché au nom du principe d'impartialité, était le vice-président du CCAS en vertu des dispositions précitées du code de l'action sociale et des familles et non le conseil d'administration du centre.

Or, la décision du 21 juin 2017 refusant à M. E... le bénéfice de la protection fonctionnelle a été prise par le conseil d'administration du CCAS, sous la présidence de son vice-président, à l'issue d'une délibération prise à la majorité des voix exprimés. Par suite, la décision en litige est entachée d'incompétence.
Il résulte de ce qui précède que M. E... est fondé à soutenir que c'est à tort que par le jugement attaqué, le tribunal administratif de La Réunion a rejeté sa demande tendant à l'annulation de la décision du 21 juin 2017. Il y a lieu d'annuler cette décision.

Il y a lieu, eu égard au seul motif justifiant l'annulation de la décision en litige, de prescrire au président du CCAS ou, en cas d'empêchement pour le motif visé au point 5, au vice-président, de procéder à un réexamen de sa demande dans un délai d'un mois à compter de la notification du présent arrêt. Dans les circonstances de l'espèce, il n'y a pas lieu d'assortir cette injonction d'une astreinte.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 4:08 AM

Policiers municipaux : Où en est-on des dossiers prime de risque, reconnaissance de la pénibilité et attribution d'une NBI pour les agents titulaires d'une qualification spécifique ?

Policiers municipaux : Où en est-on des dossiers prime de risque, reconnaissance de la pénibilité et attribution d'une NBI pour les agents titulaires d'une qualification spécifique ? | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Les agents de police municipale peuvent bénéficier d'un régime indemnitaire dont les modalités et les taux sont fixés par décret en application de l'article 68 de la loi n° 96-1093 du 16 décembre 1996 relative à l'emploi dans la fonction publique et à diverses mesures d'ordre statutaire par dérogation au premier alinéa de l'article 88 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale.

Il se compose de l'indemnité mensuelle spéciale de fonction (ISF), de l'indemnité d'administration et de technicité (IAT) pour les agents de catégorie B dont l'indice brut est inférieur à 380 et les agents de catégorie C et, le cas échéant, des indemnités horaires pour travaux supplémentaires pour les agents de catégorie B et C.

Les agents de police municipale bénéficient d'un régime indemnitaire qui ne leur est pas défavorable par rapport aux autres cadres d'emplois de la fonction publique territoriale caractérisé par une part indemnitaire dans la rémunération en moyenne supérieure. Les agents de police municipale occupant principalement les emplois afférents aux grades de gardien-brigadier et brigadier-chef principal bénéficient d'une prise en compte effective de la pénibilité par leur classement en catégorie active.

Le classement en catégorie active permet ainsi à ces fonctionnaires territoriaux exerçant des emplois présentant un risque particulier ou des fatigues exceptionnelles, sous réserve d'avoir effectué dix-sept années de services effectifs, de partir en retraite de manière anticipée dès l'âge de cinquante-sept ans.

Par ailleurs, le projet de loi relatif au système universel de retraite, dans sa version adoptée le 3 mars 2020 par l'Assemblée nationale en première lecture, permet en outre d'apporter un certain nombre de garanties aux policiers municipaux. S'il prévoit, en son article 36, une mise en extinction progressive du dispositif de catégorie active, il entend maintenir la possibilité, pour les agents publics exerçant certaines fonctions régaliennes dites «dangereuses», de bénéficier d'un départ en retraite anticipé.

Les policiers municipaux, compte tenu des missions spécifiques qu'ils exercent, bénéficieraient de ce nouveau dispositif, soumis à des cotisations spéciales et à une cotisation supplémentaire, qui a vocation à se substituer aux bonifications d'ancienneté existantes tout en préservant les droits à retraite des agents aujourd'hui classés en catégorie active.

Les textes prévoient en outre l'attribution d'une nouvelle bonification (NBI) aux policiers municipaux lorsqu'ils exercent dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (point 31 de l'annexe du décret n° 2006-780 du 3 juillet 2006 modifié portant attribution de la nouvelle bonification indiciaire à certains personnels de la fonction publique territoriale) ou lorsqu'ils exercent la fonction de responsable d'un service de police municipale (point 20) de l'annexe du décret n° 2006-779 du 3 juillet 2006 modifié).


Les revendications exprimées par les représentants du personnel des policiers municipaux font l'objet d'un examen interministériel attentif, en lien avec les employeurs territoriaux.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 3:42 AM

Assurance-chômage : les nouvelles règles de calcul de l’allocation sont suspendues

Saisie par plusieurs syndicats qui contestaient la réforme de l’assurance-chômage, la juge des référés du Conseil d'État suspend les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur le 1er juillet. En effet, les incertitudes sur la situation économique ne permettent pas de mettre en place, à cette date, ces nouvelles règles qui sont censées favoriser la stabilité de l’emploi en rendant moins favorable l’indemnisation du chômage des salariés ayant alterné contrats courts et inactivité. En revanche, la juge ne remet pas en cause le principe de la réforme elle-même.

Après l’échec de négociations en 2018 avec les principaux syndicats de travailleurs et d’employeurs, le Gouvernement a pris le décret du 26 juillet 2019 qui redéfinit le régime d’assurance-chômage. À la suite de son annulation partielle par le Conseil d’État en novembre 2020 (2), un nouveau décret du 30 mars 2021 (3) reprend, en les amendant, les dispositions relatives au mode de calcul de l’allocation chômage et à la contribution des employeurs.

Plusieurs syndicats, dont la CFDT, la CGT, FO, l’UNSA, la FSU, la CFE-CGC et l’Union syndicale solidaire, ont demandé au juge des référés du Conseil d'État de suspendre ce décret.

Une situation économique trop incertaine pour une application immédiate des nouvelles règles de calcul de l’allocation
Avec les nouvelles règles de calcul de l’allocation chômage, le Gouvernement poursuivait un objectif : favoriser les emplois durables. Le Gouvernement souhaitait pour ce faire rendre moins favorable l’indemnisation chômage des salariés alternant périodes d’emploi et périodes d’inactivité, mais aussi mettre en place un système de bonus-malus sur les cotisations chômage dues par les employeurs, pour inciter ces derniers à proposer des contrats longs.

La juge des référés du Conseil d’État observe qu’alors même que le contexte économique s’améliore ces dernières semaines, de nombreuses incertitudes subsistent quant à l’évolution de la crise sanitaire et ses conséquences économiques sur la situation de celles des entreprises qui recourent largement aux contrats courts pour répondre à des besoins temporaires. Or ces nouvelles règles de calcul des allocations chômage pénaliseront de manière significative les salariés de ces secteurs, qui subissent plus qu’ils ne choisissent l’alternance entre périodes de travail et périodes d’inactivité.

Alors que la réforme prévoit de différer au 1er septembre 2022 la mise en œuvre du système de bonus-malus pour les cotisations dues par les employeurs, précisément en raison des incertitudes sur l’évolution de la situation économique et du marché du travail, les nouvelles règles de calcul pour les salariés s’appliquent dès le 1er juillet prochain. La juge des référés considère qu’est sérieuse la contestation portant sur l’erreur manifeste d’appréciation entachant ainsi l’application immédiate de la réforme pour les salariés.

Pour cette raison, l’application des nouvelles règles de calcul des allocations pour les salariés qui perdront leur emploi à compter du 1er juillet 2021 est suspendue.
Après cette ordonnance rendue en urgence, les recours «au fond» des syndicats contre le décret réformant l’assurance-chômage seront jugés par le Conseil d’État d’ici quelques mois.

CONSEIL D’ETAT N°s 452210, 452805, 452839, 452844, 452865, 452886 - 2021-06-22

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 3:19 AM

Un CDI conclu entre un agent non titulaire de la FPT et une collectivité publique ne peut être rompu que par un licenciement, une démission ou à l'occasion d'une action en résiliation de ce contrat.

Les modalités de rupture de l'engagement d'un agent non titulaire de la fonction publique territoriale sont définies par les articles 39 à 49 du décret du 15 février 1988 pris pour l'application de l'article 136 de la loi du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et relatif aux agents contractuels de la fonction publique territoriale.

Il résulte de ces dispositions que le contrat de travail à durée indéterminée conclu entre un tel agent et une collectivité publique ne peut être rompu que par un licenciement, une démission ou à l'occasion d'une action en résiliation de ce contrat.

En l'espèce, la cour administrative d'appel de Versailles, après avoir relevé que M. B... avait exercé, à compter du 1er avril 1995, son activité en qualité de médecin du travail selon un service à mi-temps, le contrat à durée déterminée dont il était titulaire ayant été transformé de plein droit en contrat à durée indéterminée à la date de publication de la loi du 26 juillet 2005, a exactement retenu que, en lui proposant par un courrier du 7 avril 2011 un contrat à durée indéterminée pour un service à temps complet et non plus à temps partiel, alors que de façon concomitante sa rémunération, qui correspondait d'ores et déjà à un emploi de médecin territorial de 2ème classe, 8 ème échelon équivalant à un service à temps plein, ne pouvait être doublée comme il le demandait, le maire avait entendu modifier de manière substantielle les modalités de son engagement, cette modification étant justifiée par l'intérêt et les besoins du service eu égard notamment à l'embauche à temps complet du successeur de M. B.... La cour administrative d'appel a relevé, en outre, que M. B... ne contestait pas cette justification.

Par suite, elle a pu, sans dénaturer les écritures dont elle était saisie, ni commettre d'erreur de droit, en déduire qu'en l'espèce, eu égard au refus de M. B... d'accepter la modification substantielle de son contrat de travail, le maire pouvait légalement mettre fin à son contrat en le licenciant.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 21, 2021 3:59 AM

Le métier d'ATSEM | CNRACL - Fond national de prévention

Le métier d'ATSEM | CNRACL - Fond national de prévention | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

L’Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles (ATSEM) exerce, auprès du personnel enseignant des fonctions d’'accueil, d’animation et d’hygiène des jeunes enfants. Ce cadre d’emploi est spécifique à la Fonction Publique Territoriale (pas d’équivalent dans la Fonction Publique Hospitalière ni dans le secteur privé).
Cette fiche revient sur les conditions d’exercice de ce métier, les risques associés ainsi que sur les mesures de prévention identifiées.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 18, 2021 3:46 AM

Indice de traitement brut - Grille indiciaire (ITB-GI) et aide à l’amélioration de la publication de l’ITB-GI

Au premier trimestre 2021, l’indice de traitement brut - grille indiciaire augmente de 0,13%.
Les fonctionnaires revalorisés ce trimestre appartiennent principalement à la catégorie C (82 %).

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 18, 2021 3:42 AM

Lignes directrices de gestion, les clés de la réussite

Lignes directrices de gestion, les clés de la réussite | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

La loi du 6 août 2019 oblige les collectivités à formaliser leur politique de gestion des ressources humaines via des Lignes directrices de gestion. Mais comment s’y prendre ? Que doivent-elles contenir ? Quelle place donner à la négociation ? Autant de questions, et d’autres encore, qui trouveront leurs réponses lors de ce webinaire, jeudi 24 juin à 9h30. Inscrivez-vous !

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 18, 2021 3:29 AM

Une prime de départ en retraite des agents territoriaux est possible dans le cadre du complément indemnitaire annuel

Une prime de départ en retraite des agents territoriaux est possible dans le cadre du complément indemnitaire annuel | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Les fonctionnaires territoriaux ont droit, après service fait, à une rémunération comprenant le traitement, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement ainsi que les indemnités instituées par un texte législatif ou réglementaire en vertu de l'article 20 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et de l'article 87 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 17, 2021 4:14 AM

Lignes directrices de gestion : une aide sur mesure

Lignes directrices de gestion : une aide sur mesure | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Etablir les lignes directrices de gestion est complexe pour les petites communes. Deux documents ont été conçus pour elles.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 16, 2021 3:15 AM

Salaires : les syndicats font monter la pression

Salaires : les syndicats font monter la pression | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

A l'appel de l'intersyndicale (CGT, FA-FP, FSU, Solidaires), les agents des trois fonctions publiques se sont mobilisés lors d'une journée d'action, ce mardi 15 juin, pour revendiquer une hausse du point d'indice. Près de 80 rassemblements se seraient tenus en France pour tenter de peser sur l'issue du rendez-vous salarial qui se tiendra le 6 juillet.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 16, 2021 3:01 AM

Fédération CGT des services publics : Pour l’augmentation générale des salaires et (...)

Fédération CGT des services publics : Pour l’augmentation générale des salaires et (...) | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Pétition pour le dégel de la valeur du point d’indice, pour l’augmentation générale des salaires et pensions dans la Fonction publique
Communiqué «La politique de gel de la valeur du point d’indice poursuivie presque sans interruption depuis plus de 10 ans entraîne des pertes de pouvoir d’achat considérables pour les agents de la Fonction publique. Dans le même temps, la revalorisation des pensions est plus que jamais d’actualité.
À ce stade, le gouvernement continue de refuser de s’engager sur le dégel du point d’indice et sur le principe de mesures générales d’augmentation des salaires et pensions au bénéfice de l’ensemble des agent·es et retraité·es de la Fonction publique.
Il refuse aussi de prendre les mesures qui s’imposent pour l’égalité salariale entre les femmes et les hommes et la revalorisation des filières à prédominance féminine.
Avec les organisations syndicales CGT, FA-FP, FSU et Solidaires de la Fonction publique, nous exigeons l’ouverture de négociations et des mesures fortes de revalorisation du point d’indice, et d’augmentation générale des salaires et pensions, pour l’égalité salariale.»

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 15, 2021 4:32 AM

Augmentation de la part des primes : un risque pour les retraites des fonctionnaires

Augmentation de la part des primes : un risque pour les retraites des fonctionnaires | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Le rapport annuel du Conseil d'orientation des retraites, publié le 10 juin, pointe les risques liés à l'augmentation de la part des primes dans la rémunération des fonctionnaires : prévue par le gouvernement jusqu'en 2037, celle-ci pourrait faire diminuer les ressources du système de retraite dans son ensemble... mais aussi le niveau des pensions des agents publics liquidant leur carrière.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 4:51 AM

Les actualités | Université innovation publique territoriale | Le CNFPT - National

Les actualités | Université innovation publique territoriale | Le CNFPT - National | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

A compter du 16 novembre 2021, le CNFPT organise l’édition 2021 de l’Université de l’Innovation Publique Territoriale. Marquée par la crise sanitaire, cette édition permettra aux acteurs publics locaux d’inventer ensemble des solutions concrètes aux défis territoriaux, écologiques et sociaux, qui se présentent à eux.
Cet événement s'inscrit dans l'offre dédiée à l'innovation publique collaborative développée par le CNFPT pour aider les collectivités à trouver des solutions aux défis de l’action publique territoriale. Véritable formation-action à l’attention des collectivités qui souhaitent s’engager dans une démarche d’innovation publique, cette université propose méthodologies, outils et accompagnements autour de projets concrets menés en équipes.

A l’instar des précédentes éditions, il s’agira de rechercher et mettre en œuvre des solutions innovantes pour répondre à la question: " Comment oser l’utopie et réinventer ensemble le contrat écologique et social dans nos territoires ? " et imaginer des réponses concrètes à des problématiques telles que le futur du travail, la transition écologique, la crise démocratique ou encore l’innovation managériale.

L’Université se déroulera au sein des délégations régionales du CNFPT. Au regard des enjeux locaux et du contexte sanitaire, les délégations proposeront une programmation selon des modalités différentes (en présentiel ou à distance, sur un seul ou plusieurs lieux, avec des publics différents, etc.) et des formats variés (démarche de co-design, forum ouvert, world café, etc.) mais toujours basés sur les principes de l’intelligence collective et de l’agilité.

Retrouvez toutes les informations sur la page dédiée.
Les participants pourront s’inscrire prochainement en se rapprochant de leur délégation.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 4:11 AM

Heures supplémentaires : pas de rémunération majorée pour les agents à temps (...)

Heures supplémentaires : pas de rémunération majorée pour les agents à temps (...) | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Pourquoi les agents à temps partiel n’ont ils pas le droit aux heures majorées lorsque leur administration leur demande de faire des heures supplémentaires notamment de nuit ainsi que le dimanche et les jours fériés ? L’UNSA Territoriaux, par l’intermédiaire de Régis Juanico, pose la question au gouvernement.

Le principe réglementaire applicable aux agents à temps complet
En application des articles 7 et 8 du décret 2002-60 du 14 janvier 2002 relatif aux indemnités horaires pour travaux supplémentaires, les heures supplémentaires (temps de travail réalisé au-delà de 35H/semaine) qui ne donnent pas lieu à repos compensateur sont indemnisées dans les conditions suivantes : La rémunération horaire est déterminée en prenant pour base exclusive le montant du traitement brut annuel de l’agent concerné au moment de l’exécution des travaux, augmenté, le cas échéant, de l’indemnité de résidence. Le montant ainsi obtenu est divisé par 1820.

Cette rémunération horaire est alors multipliée par 1,25 pour les quatorze premières heures supplémentaires et par 1,27 pour les heures suivantes. L’heure supplémentaire est aussi majorée de 100 % lorsqu’elle est effectuée de nuit, et des deux tiers lorsqu’elle est effectuée un dimanche ou un jour férié. Ces deux dernières majorations sont non cumulables entre-elles.

Pour les agents à temps partiel
La position du ministre de l’action des comptes publics du 29 mai 2018 ( réponse à la question parlementaire N° 2667) rappelle que l’article 3 du décret 82-624 du 20 juillet 1982 fixant les modalités d’application pour les fonctionnaires de l’ordonnance no 82-296 du 31 mars 1982 relative à l’exercice des fonctions à temps partiel, dispose «par dérogation aux articles 7 et 8 du décret N°2002-60, le montant de l’heure supplémentaire applicable à ces agents est déterminé en divisant par 1 820 la somme du montant annuel du traitement brut et de l’indemnité de résidence d’un agent au même indice exerçant à temps plein». Il en résulte en effet que l’heure supplémentaire d’un agent à temps partiel, quels que soient la quotité de travail et le moment où elle est effectuée, est rémunérée au taux horaire d’un temps plein sans majoration excluant ainsi les agents à temps partiel de tous les dispositifs de majoration. Le principe est qu’un agent à temps partiel amené à effectuer occasionnellement des heures supplémentaires ne peut pas percevoir une rémunération supérieure à celle d’un agent à temps plein. En bref, on s’appuie sur une règle réglementaire qui s’apparente à une punition par les agents concernés.

Il va de soi que cette situation est créatrice d’une injustice pour les agents à temps partiel qui sont souvent des femmes et qui pour des raisons familiales sont obligées d’opter pour un travail à temps partiel. Un tel dispositif est ainsi doublement pénalisant et de plus, méconnait la situation de nos collègues des établissements territoriaux qui fonctionnent 24h/24h comme les EPHAD et qui sont sollicités pour faire des heures supplémentaires au nom de l’intérêt du service.

On peut s’interroger sur la logique qui prévaut dans les instances ministérielles pour défendre de tels monta-ges réglementaires. Un peu plus de bon sens améliorait la situation des collègues sous contrainte et par voie de conséquence la gestion de nos services publics !

La Fédération UNSA Territoriaux qui attache beaucoup d’importance à la justice sociale et à la cohérence des modes de rémunération a décidé d’interpeller le gouvernement sur cette question.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 3:47 AM

Prévention des risques professionnels et contrôle interne d’alcoolémie : taux d’alcoolémie justifiant l’application d’une sanction disciplinaire

M. C..., fonctionnaire territorial a été soumis à un dépistage collectif d'alcoolémie effectué par le directeur général des services et l'assistant de prévention de la commune, avec 17 collègues des services voieries, bâtiments et espaces verts. Le dépistage effectué sur M. C... s'est révélé positif et son taux d'alcoolémie supérieur à 0,25 mg par litre d'air expiré. Il lui a alors été enjoint de ne pas reprendre ses fonctions avant que ne soit effectué un nouveau contrôle.
Le deuxième dépistage réalisé à 16H06 s'est de nouveau révélé positif, mais avec un taux d'alcoolémie inférieur à la limite autorisée de 0,25 mg par litre d'air expiré. Le requérant a pu, dans ces conditions, reprendre ses fonctions.
Un rapport disciplinaire a été rédigé le même jour à l'encontre de M. C... et ce dernier a été convoqué le 9 août 2017 par le maire de la commune pour présenter ses observations. Le 11 août 2017, le maire de la commune a infligé à M. C... la sanction d'exclusion temporaire de fonctions d'une durée de trois jours.

Sur le bien-fondé du jugement attaqué :
Il résulte des dispositions du règlement intérieur, d'une part, que l'employeur ne peut apporter des restrictions aux droits des salariés que si elles sont justifiées par la nature de la tâche à accomplir et proportionnées au but recherché.

Il en résulte, d'autre part, que l'employeur, qui est tenu d'une obligation générale de prévention des risques professionnels et dont la responsabilité, y compris pénale, peut être engagée en cas d'accident, doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.
A ce titre, l'employeur peut, lorsque la consommation de boissons alcoolisées est susceptible de porter atteinte à la sécurité et à la santé des travailleurs, prendre des mesures, proportionnées au but recherché, limitant voire interdisant cette consommation sur le lieu de travail.
En cas de danger particulièrement élevé pour les salariés ou pour les tiers, il peut également interdire toute imprégnation alcoolique des salariés concernés.

En l’espèce, il n'est pas contesté que les agents des services voieries, bâtiments et espaces verts ayant fait l'objet du contrôle d'alcoolémie en cause peuvent être amenés à conduire des véhicules et des engins, à manipuler et utiliser des produits dangereux ou à utiliser des machines dangereuses. Dans ces conditions, le contrôle prévu par le règlement intérieur de la commune et effectué par le directeur général des services et l'assistant prévention de la commune d'Arzon lors de la reprise du travail des agents concernés après le déjeuner le 28 juillet 2017, était proportionné au but recherché, présentait un caractère préventif, et ne peut être regardé comme général et indéterminé.

La circonstance que le requérant a fait l'objet d'un rapport disciplinaire établi le même jour que le contrôle d'alcoolémie, avant d'avoir bénéficié d'un entretien préalable à la sanction disciplinaire en litige, ne saurait conférer audit contrôle un but disciplinaire, alors même que ce contrôle s'inscrit dans une politique de mise en oeuvre de mesures de prévention et de lutte contre les excès d'alcool au sein des services de la commune, ayant conduit, selon les dires non contestés de la commune, à de précédents contrôles visant d'autres agents. Par suite, le requérant n'est pas fondé à soutenir que le contrôle effectué serait entaché d'illégalité ou de détournement de pouvoir.

En second lieu, (…) compte tenu de la spécificité des missions de M. C..., affecté au service voirie et espaces verts de la commune, qui implique la manipulation d'outils et la conduite de véhicules sur des voies de circulation, le requérant a commis une faute justifiant l'application d'une sanction disciplinaire. Eu égard à la gravité de cette faute, à l'expérience professionnelle de l'intéressé, induisant une connaissance particulière des risques liés à l'ébriété, le maire n'a pas, en l'espèce, en prononçant à l'encontre du requérant la sanction de premier groupe d'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de trois jours, pris une mesure disproportionnée.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 25, 2021 3:24 AM

Panorama de l'emploi territorial - 10e édition

Pour cette 10e édition du panorama de l’emploi territorial, 92 Centres de Gestion se sont mobilisés afin de présenter à l’ensemble de leurs collectivités un focus des données issues des Bilans de l’emploi.

Cette publication présente dans un premier temps, une stabilisation des effectifs dans la fonction publique territoriale, l’augmentation des publications d’offres d’emploi, ainsi que les perspectives des départs à la retraite d’ici 2030.

Différents repères sont offerts aux collectivités par cette publication :
- Près de 44 0000 employeurs dans la fonction publique territoriale ;
- Une stabilisation des effectifs avec une évolution variable selon les territoires ;
- Une augmentation des offres d’emploi publiées et des tensions perçues dans les recrutements ;
- L’augmentation de la part des agents contractuels recrutés sur emploi permanent ;
- Une comparaison biennale des concours organisés par les Centres de gestion ;
- Un âge moyen de départ à la retraite en croissance constante ;
- L’augmentation des départs en retraite pour invalidité.
Enfin, un zoom sur le métier de Policier municipal dans la fonction publique territoriale complète cette 10e édition du Panorama de l’emploi.

Téléchargez la 10e édition du Panorama de l'emploi

Source - CIG Versailles

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 21, 2021 4:00 AM

Activité professionnelle des personnes à risque de forme grave de Covid-19 ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet

Activité professionnelle des personnes à risque de forme grave de Covid-19 ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Dans un contexte de progression de la couverture vaccinale contre le Covid-19 chez les personnes en activité professionnelle, et compte tenu des données épidémiologiques, de l’efficacité des vaccins, de la moindre réponse immunitaire chez les personnes immunodéprimées, le HCSP recommande notamment s’agissant du retour au travail des personnes à risque de formes graves de Covid-19 : ...

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 21, 2021 3:57 AM

Absence d’obligation de modifier l’engagement d’un agent contractuel lorsque celui-ci devient éligible au cours de son contrat au dispositif de titularisation réservé au personnel handicapé

Les collectivités territoriales disposent de la possibilité de titulariser sans concours des travailleurs handicapés titulaires de diplômes leur permettant l'accès à la fonction publique territoriale à la condition que ces derniers aient été employés par un contrat passé en application des dispositions précitées de l'article 38 de la loi du 26 janvier 1984 et des articles 1er et 5 de son décret d'application du 10 décembre 1996 et qu'ils aient effectué dans le cadre de ce contrat un stage à l'issue duquel leur aptitude à l'exercice des fonctions a été validée.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 18, 2021 3:43 AM

Lignes directrices de gestion : une aide sur mesure

Lignes directrices de gestion : une aide sur mesure | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Etablir les lignes directrices de gestion est complexe pour les petites communes. Deux documents ont été conçus pour elles.

 
No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 18, 2021 3:32 AM

Réforme de la haute fonction publique : Le SNDGCT présente au Cabinet du Premier Ministre une contribution de 11 propositions

Le 26 mai dernier, le SNDGCT a formulé auprès de la Ministre de la transformation et de la fonction publiques, et présenté au Cabinet du Premier Ministre une liste de 11 propositions dans le cadre de la réforme de la haute fonction publique. Une contribution qui vise à corriger les faiblesses et les inadaptations du système à la société d’aujourd’hui.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 17, 2021 4:15 AM

« Le futur code va permettre de s'y retrouver dans le maquis statutaire »

« Le futur code va permettre de s'y retrouver dans le maquis statutaire » | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Alors que le futur code de la fonction publique sera devant le Conseil commun ce 24 juin, le professeur et avocat Didier Jean-Pierre, spécialiste du droit de la fonction publique, revient sur cette codification XXL.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 17, 2021 4:02 AM

CSA - Retour au bureau et télétravail

Dans cette étude réalisée fin mai 2021, les Français font part de leurs espoirs et appréhensions sur le retour au travail en présentiel. Ils dressent également un bilan contrasté de l’impact de la crise sanitaire sur les nouvelles façons de travailler et de manager. Deux enseignements : 76% des Français souhaitent que le télétravail perdure à un rythme de plusieurs jours par semaine. En revanche, ils attendent une évolution des modes de management et d’encadrement des salariés, au profit de plus d’autonomie et d’un bien-être accru au sein des entreprises.

Si 81% des Français voient globalement de façon positive le retour au bureau, ils espèrent tout de même pour 76% d’entre eux garder plusieurs jours de télétravail par semaine. Les Français désirent conserver «les acquis» induits pendant la crise sanitaire et permis par le télétravail, à savoir la souplesse et de la flexibilité (17%) ou encore le gain de temps apporté par l’absence de transport (13%).

De nouvelles façons de manager
Le télétravail, la souplesse et la plus grande autonomie accordée de fait aux salariés n’a pas été vécue de manière homogène. Si dans 30% des cas, le télétravail a permis de concilier vie privée et vie professionnelle, pour 17% des Français, le télétravail a surtout généré une charge plus importante de travail, avec peu de déconnexion possible. Ces ressentis disparates interrogent les entreprises et les managers sur les nouvelles façons d’encadrer et de suivre les collaborateurs en présentiel et à distance. 61% des Français souhaitent que les modes de managements soient modifiés pour leur laisser plus d’autonomie. Ils sont 60% à désirer que la crise sanitaire puisse être porteuse de changements, avec un intérêt accru des entreprises pour la prise en compte du bien-être physique et physiologique de leurs salariés (62%), par l’importance de la convivialité et sociabilité dans les entreprises (64%). Mais les Français restent prudents, voire sceptiques, quant à la façon dont les modes de management risquent d’évoluer.

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 16, 2021 3:06 AM

Le Défenseur des droits : une aide pour les agents et les usagers du service (...)

Le Défenseur des droits : une aide pour les agents et les usagers du service (...) | Veille juridique du CDG13 | Scoop.it

Le Défenseur des droits, une institution originale dont les recommandations constituent, pour l’essentiel, des injonctions morales aux collectivités ou établissements qui en sont destinataires.
«Le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés» article 71-1 de la Constitution
La compétence du Défenseur des droits est large mais elle comporte en particulier deux domaines qui nous concernent tous
En tant qu’agent public :
Vous pouvez vous adresser au Défenseur des droits si vous estimez avoir été victime d’une discrimination. L’auteur présumé de cette discrimination peut être une personne physique (un individu) ou morale (une association, une société…), une personne privée (une entreprise) ou publique (un service de l’État, une collectivité territoriale, un service public hospitalier).

No comment yet.
Scooped by Service Juridique CDG13
June 16, 2021 2:59 AM

Une collectivité territoriale peut-elle refuser de mettre en place le télétravail ?

Cette affaire concerne la mise en oeuvre du télétravail dans une collectivité territoriale et la possibilité, pour l’organe délibérant, de décider de ne pas mettre en oeuvre le télétravail dans la collectivité en considérant qu’aucune activité ne peut être exercée à distance.
Les dispositions réglementaires issues des articles 5 et 7 précitées du décret du 11 février 2016, lesquelles, organisant la situation statutaire et réglementaire dans laquelle sont placés par les lois du 13 juillet 1983 et 26 janvier 1984 les fonctionnaires des collectivités locales, n'ont pas pour effet de porter atteinte à la libre administration de celles-ci, donnent à leur organe délibérant la faculté d'ouvrir aux agents la possibilité de demander de recourir au télétravail, par la désignation des tâches et missions qu'il estime éligibles à ce mode d'organisation du travail.
Toutefois, si ces dispositions n'ont pas pour portée de poser un droit individuel au télétravail, elles ont entendu énumérer les critères au vu desquels l'organe délibérant et l'autorité territoriale, celle-ci dans le cadre des pouvoirs propres qu'elle tient notamment de l'article L. 2122-18 du code général des collectivités territoriales, ou le chef de service, doivent chacun respectivement, pour le premier, déterminer collectivement l'éligibilité au télétravail des missions exercées dans la collectivité et, pour la seconde, régler l'exercice individuel de celui-ci par l'agent demandeur.
>> L'organe délibérant ne saurait étendre l'objet de sa délibération à une introduction ou un refus du télétravail poste par poste

No comment yet.